Au delà de l’Ironie de la situation, le Bilan de Macron/Darmanin (et maintenant Rétaillau) en terme de sécurité est une catastrophe.
D’un coté on a une explosion des cas de violences policières, avec pas mal de manifestants gravement blessés pendant la gilets jaunes, et ne parlons pas des jeunes de banlieue qui en prennent pleins la gueule. Mais maintenant on a carrément des enlèvements contre rançons.
Quand je pense que sous Jospin, il y avait déjà une peur panique de l’insécurité à cause de voitures brûlées
J’ai l’impression qu’on mélange tout en se cachant derrière le mot « violence » :
La violence policière/d’état.
La violence dans l’espace public.
La violence du crime organisé.
Le tout à différents dégrée. Soyons fous, ajoutons la violence sexuelle sur les femmes en situation de précarité, la violence professionnelle sur les individue (petit patron qui fait chier l’employé), la violence bourgeoise contre les syndiqués, etc.
Bref, ce commentaire sent le début d’un débat qui floute les lignes.
Si j’essaye d’apporter ma pierre à l’édifice, je dirais que les kidnappings contre rançon sont une case à part et que dans ce cas-ci, c’est justement l’ironie qui me semble être le sujet :
Un mec a beaucoup de thune en crypto, mais est un kassos sans pognon parce que le problème n’est pas d’avoir du bitcoin, mais de le liquider.
En effet les violences policières ou dans l’espace public ne sont pas le sujet de l’article. Cela dit les ministres de l’intérieur et de la justice ont une responsabilité dans la lutte contre toutes ces violences.
Ca pourrait être bien de faire une nouvelle publication sur le bilan du gouv au sujet de la sécurité du public, idéalement avec un peu de recul et une analyse objective des chiffres. Le gouv est en place depuis moins d’un an, donc c’est à priori trop tôt pour analyser les résultats. Mais on peut déjà discuter de la méthode et de la politique.
Au delà de l’Ironie de la situation, le Bilan de Macron/Darmanin (et maintenant Rétaillau) en terme de sécurité est une catastrophe.
D’un coté on a une explosion des cas de violences policières, avec pas mal de manifestants gravement blessés pendant la gilets jaunes, et ne parlons pas des jeunes de banlieue qui en prennent pleins la gueule. Mais maintenant on a carrément des enlèvements contre rançons.
Quand je pense que sous Jospin, il y avait déjà une peur panique de l’insécurité à cause de voitures brûlées
J’ai l’impression qu’on mélange tout en se cachant derrière le mot « violence » :
Le tout à différents dégrée. Soyons fous, ajoutons la violence sexuelle sur les femmes en situation de précarité, la violence professionnelle sur les individue (petit patron qui fait chier l’employé), la violence bourgeoise contre les syndiqués, etc.
Bref, ce commentaire sent le début d’un débat qui floute les lignes.
Si j’essaye d’apporter ma pierre à l’édifice, je dirais que les kidnappings contre rançon sont une case à part et que dans ce cas-ci, c’est justement l’ironie qui me semble être le sujet :
Un mec a beaucoup de thune en crypto, mais est un kassos sans pognon parce que le problème n’est pas d’avoir du bitcoin, mais de le liquider.
En effet les violences policières ou dans l’espace public ne sont pas le sujet de l’article. Cela dit les ministres de l’intérieur et de la justice ont une responsabilité dans la lutte contre toutes ces violences.
Ca pourrait être bien de faire une nouvelle publication sur le bilan du gouv au sujet de la sécurité du public, idéalement avec un peu de recul et une analyse objective des chiffres. Le gouv est en place depuis moins d’un an, donc c’est à priori trop tôt pour analyser les résultats. Mais on peut déjà discuter de la méthode et de la politique.